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30 décembre 2009 3 30 /12 /décembre /2009 15:00

"A mardi !"

J'entre dans ma troisième famille ce 7 janvier.
Nouveau départ. 

Cinquante-deuxième
   jour:

Lundi

Sortie Rotary.

Tout commence par un bus super kitch.
Rempli de rotariens, une rotex (Miyuki) et une exchange student (me).

Zed (o2)

Nous partons pour assister au spectacle "ZED" du Cirque du Soleil.
On m'offre donc gracieusement mon billet.

Zed (o3)

Un de mes futurs papa d'accueil m'offre gentillement des chocolats.
Bon, comme du plastique. 

Zed (o4)

Nous arrivons à DisneyLand Tokyo, ZED se donne dans un bâtiment voisin.
Nous nous y pausons donc pour manger nos bentos aux tables libres.

Zed (o6)

Un bento immonde, dont aucun aliment n'avait le goût de réel nourriture, il devait avoir mal tourné...
(Puisque en temps normal je les mange et les aime)

Zed (o7)

Répétition avant le spectacle par Miyuki.
Vous y trompez pas, elle ne tiens pas son trois balles plus d'un lancé. :p

Zed (o1)

On s'est ensuite rendu compte qu'à 2o mètres de nous un mariage se donnait par les soins de Mickey et Minnie.
Félicitations aux mariés.

Zed (o8)

Le spectacle fut merveilleux, aux bords des larmes.
Vraiment magnifique et bien sûr photo interdite.

Mes compagnons d'autocar.

Zed (o5)

On s'est alors promené dans Tokyo, fort interessant.
Ci-dessous le parlement japonais. Malheureusement trop fatiguée pour apprécier la promenade.

Zed (o9)

Pour cloturer on a soupé dans un restaurant super chic.
Où on a complètement déliré avec Miyuki et Otou-san (quatrième de rang).

On retourne dans le car, une fois rentré, comatage sur tatami et puis dodo dans mon futon.

Zed (1o)

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8 décembre 2009 2 08 /12 /décembre /2009 07:08

...

Cinquante-et-unième
   jour:

Dimanche

JAPAN JUGGLING FESTIVAL 2oo9

Morte crevée à cause de la veille, mais je me lève et m'en vais avec mes balles, mon monocycle et surtout mon conseiller. Long trajet. Coco (que l'on a rejoint en après 4o minutes de train) tiens bien plus compagnie a Thoru qu'a moi, chose que je n'avais pas prévue. Après plusieurs heures de train on se retrouve dans un autre tout particulier, pas de rail. Suspendu en l'air et tu regardes le sol bien loin en pensant que faut pas que le wagon se détache du machin qui le soutient en l'air. Marrant.

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On arrive enfin à LA convention.

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Ci-dessus, aperçu de la salle vue des gradins.
Ci-dessous, t'es japonais, tu enlèves tes chaussures avant d'entrer.

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Thoru et Coco ont passé la journée à dormir dans les gradins, pendant que je jonglais, à l'exceptions du tout début, où Coco a tenté de faire tourné une "assiette" et elle finit par y arriver!

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Pendant ce temps là de mon côté j'ai appris à chopper des dés un par un avec un goblet et les faire s'ampiler d'eux même à l'intérieur de celui-ci. J'ai aussi bien avancer dans mon 3 massues.

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La salle n'est ouverte que de 8 à 16 heures, nous sommes arrivés aux environs de 11. Inscription, une personne 35 euros, juste pour ça, une salle, un jour, 8 heures. Heureusement on ne l'a payé que pour moi. Et donc après les gens rentrent chez eux, ou à l'hotel si ils vivent trop loin pour revenir le lendemain, fun... D'un autre point de vue, camping en plein Tokyo, je peux concevoir que c'est pas facilement faisable.

Japan Juggling Festival (5)

Japan Juggling Festival (6)

Dehors pour le repas de midi, on se retrouve face a une course de voitures, petites mais rapides!

Japan Juggling Festival (7)

Japan Juggling Festival (8)

Et puis re-convention.
Roule diabolo, roule.

Japan Juggling Festival (1o)

Concours d'endurance aux 5 balles.

Japan Juggling Festival (11)

Le gars au fond avec ses massues blanches et vertes, il jonglait à 5 massues et faisait de l'endurance, il a tenu super longtemps, alors que y avait pas de concours ni rien, si bien que tout le monde a remarqué qu'il avait jamais fait de pause, si bien que quand ses massues sont tombées, toutes la salle a applaudi. On le voit aussi sur la photo du dessus.

Japan Juggling Festival (12) 

Un des gars avec qui on a passé le plus de temps.

Japan Juggling Festival (13)

Mon conseiller et moi juste avant le guest stage, sur les lieux.

Japan Juggling Festival (14)

Guest Stage, photo interdites, c'était super chouette.

Japan Juggling Festival (15)

Komei Aoki était bien sur place et avait changé de coupe de cheveux, le scoop... Pour ceux qui ne connaissent pas ce nom, il s'agit du jongleur japonais ayant fait la meilleure prestation l'an dernier et cette année aussi si je ne me trompe. Voir ce que ça a donné l'an dernier: http://www.youtube.com/watch?v=WpLiDY7VMzI Enfin, on a parlé autant que mon japonais de ce moment me le permettait et je l'ai pris en photo, et puis suis rentrée, on a mangé du riz au curry dans un petit restaurant juste en sortant de la gare de Shiki et puis re-train et dodooo.

Conclusion: je suis vachement plus fan des conventions européennes, se retrouver dans une salle en plein au milieu de la nuit avec des gens qui jongle entre les sacs de couchages, parade de feu, APEROOO, douche commune et mixte, enfin s'plus sociale 8D Mais je me suis bien amusée tout de même et si je suis de nouveau au Japon à ce moment de l'année j'y repasserais.

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6 décembre 2009 7 06 /12 /décembre /2009 10:27

J'ai répondu aux commentaires et j'en avais du retard.
(Enfin, j'en ai toujours mais pour d'autres choses.)

Cinquantième
   jour:

Samedi

J'ai perdu mes notes pour cette journée donc y aura juste des photos avec des petites explications.

Pour introduire, je suis partie ce jour là à Shibuya avec Alessa (l'allemande de 16 ans de Matsujô) et Miyuki, ma tendre grande soeur, parce que on voulait se faire une sortie entre nous.

En sortant de la gare de Shibuya, un petit panorama.

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Proche de cette gare, une des choses que vous pourrez admirer c'est la statue de Hachiko, un chien devenu une légende au Japon et même en dehors de celui-ci.
Ce jeune chien akita (de race) vécu dans les années 2o, en ce temps il attend son maître tous les soirs à la gare de Tokyo. Quand celui-ci descend du train, c'est la fête ! Ensemble, ils rentrent alors. Mais un soir, le maître d'Hachiko n'est pas au rendez-vous. La triste vérité est que celui-ci décède brutalement. Hachiko continuera à se rendre à la gare tous les soirs pendant une dizaine d'années. Une histoire vraie sur la fidélité.

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Puis des immeubles fort connu.
Comme le Shibuya 1o9 ci-dessous, contente d'aller dedans, jamais fait autant de shopping de ma vie.

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Des pubs faisant la taille des immeubles (juste parce que j'aime sa bouille).

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Je suis même tombée sur Mickael Jackson dans une rue sombre et abandonnée, je le savais qu'il était pas mort!

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Y avait aussi un Disney Store de 3 ou 4 étages.
Tu peux aussi te déguiser en Tic ou Tac! Trooop fooort.

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Ou encore un bol d'Udon (nouilles japonaises) dans lequel tu as la place pour te noyer, il fait de la fumée et les baguettes font des aller-retour de haut en bas.

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On a mangé de bonnes choses.
Ramen.

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Crèpes.

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Haribo.


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Et y avait vraiment de chouettes magasins.

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Sans oublier, purikura :D

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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 13:03
Un article pour faire patienter.

J'ai appris que la peine de mort était toujours d'actualité au Japon il y a un mois, en arrivant dans ma deuxième famille en parlant avec mon papa d'accueil.

J'ai donc pondu cette article avec l'aide de quelques sites.
Sources:
http://www.peinedemort.org/National/pays.php?pays=4
http://fr.wikipedia.org/wiki/Peine_de_mort_au_Japon

Le saviez-vous ?

Au Japon, bien que l'âge de la majorité soit de vingt ans, la peine de mort est applicable à partir de dix-huit ans au moment du crime (il n'y a donc pas violation de la Convention internationale des droits de l'enfant).

Bref historique

Le Japon a une longue tradition de la peine de mort, principalement en temps de guerre. Dans certains cas, se donner la mort était vu comme une façon noble de mourir dans la société japonaise. Je parle bien sur du Seppuku (plus connu sous le nom de Hara-Kiri), suicide rituel pratiqué dans un temple, le plus souvent en s'ouvrant l'abdomen avec un tantô (le plus court des sabres japonais), ce geste représentant la libération de l'âme. Il existe une version plus douloureuse ajoutant une coupe verticale,(la traditionnelle étant horizontale) pour marquer sa volonté d'expiation. La version la moins douloureuse et considérée comme la moins honorable est celle ou un ami vous coupe la tête. Le seppuku était traditionnellement utilisé en dernier recours, lorsqu'un guerrier estimait un ordre de son maître immoral et refusait de l'exécuter. C'était aussi une façon de se repentir d'un péché impardonnable, commis volontairement ou par accident. Les femmes n'ayant pas le droit de se faire seppuku à la manière des hommes, elles se tranchaient la carotide avec un poignard, après s'être entravé les jambes afin de garder dans la mort une attitude décente.
Minamoto no Tametomo aurait été le premier homme et samouraï à pratiquer le seppuku honorable, en prenant exemple sur les femmes chinoises : accusées d'avoir enfanté l'enfant d'un autre homme que leur époux, elles s'ouvraient le ventre de désespoir afin de prouver leur fidélité. Minamoto no Yorimasa est le premier du seppuku de qui on a une description détaillée : après sa défaite à la première bataille d'Uji en 1180, Yorimasa s'est retiré dans la salle du Phénix du temple du Byōdō-in, a écrit un poème au dos de son étendard, avant de prendre son poignard et de s'ouvrir l'abdomen. Cette façon de procéder a codifié le seppuku. Les seppuku furent interdit à la demande du gouvernement en 1663, le dernier seppuku signalé à ce jour fut exécuté en 197o par un écrivain, celui-ci marqua le peuple, cette pratique n'étant déjà plus du tout d'actualité à cette époque.

Depuis que le code pénal japonais s'est occidentalisé sous l'ère Meiji, il autorise la peine de mort pour les crimes "les plus odieux". Les États-Unis d'Amérique du Nord ont très peu réformé le code pénal en 1945, lorsqu'ils ont occupé le pays et la peine de mort fut maintenue.
Le pays n'a connu aucune exécution de 1989 à 1993, cela est dû aux ministres de la justice de l'époque, qui ne signaient pas les ordres d'exécution des condamnés. Mais elles reprennent avec l'arrivée de Masaharu Gotoda, qui en tant que légaliste considère que pour la crédibilité du système juridique japonais, il faut appliquer les sentences prononcées par les tribunaux. De 1990 à 1995, l'opinion publique fut sensibilisée, principalement par les médias, sur la question de l'abolition de la peine de mort. Un débat public commença même à être institué. L'attentat au gaz sarin dans le métro de Tokyo en 1995 fit basculer l'opinion.


Jurisprudence


«La peine capitale ne peut être appliquée que lorsque la responsabilité de l'auteur du crime est extrêmement grave et que la peine maximale est inévitable du point de vue de l'équilibre entre le crime et le châtiment ainsi que du point de vue général de la prévention, en tenant compte des circonstances, notamment la nature, le motif et les modalités du crime, en particulier la persistance et la cruauté du moyen de mise à mort, la gravité des conséquences, en particulier le nombre de victimes tuées, les sentiments des proches en deuil, les effets sociaux, l'âge et les antécédents de l'auteur du crime et les circonstances qui suivent la commission de celui-ci.»


Dans le couloir de la mort

Quand au conditions de vie au sein de la prison, à part avec les gardiens, les condamnés vivent isolés, dans une cellule de quatre Tatamis soit deux mètres sur quatre, avec un WC, un évier et une fenêtre obscurcie l'empêchant de contempler le ciel. Quand il n'a pas d'activité, il doit se tenir assis sur le plancher(il est interdit de se mouvoir). Il est filmé vingt-quatre heures sur vingt-quatre, la lumière restant allumée de 21 heures à 6 h 30 du matin pour éviter les suicides. Les condamnés disposent de la télévision et ont droit à trois livres. Les prisonniers disposent d'une demi-heure par jour de sortie sur un terrain de 10 m². Par ailleurs, les condamnés à mort restent très longtemps dans les couloirs de la mort à attendre leur exécution : souvent plus de dix ans, parfois plus de trente. Ils ne prennent connaissance de leur exécution que quelques heures avant et leurs famille ne sont prévenues que le lendemain par voie de presse. Le ministère japonais invoque lui le fait qu'aucune règlementation japonaise ne le contraint à communiquer plus qu'il ne le fait déjà ainsi que les efforts pour éviter les suicides et que l'exécution se déroule paisiblement. Le ministre Kunio Hatoyama avait proposé que l'exécution ait lieu obligatoirement dans un délai de six mois suivant le rejet du pourvoi devant la cour suprême, ce qui suscita un tollé dans les rangs des abolitionnistes.

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Sur les 35 meurtriers exécutés depuis 2006, 30 ont été condamnés pour le meurtre d'au moins deux personnes.
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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 09:50

Je vais bien.
Je tente toujours en vain de rattraper ce pauvre blog.

Quarante-cinquième
   jour:

Lundi

Reprise des cours, un peu à la bourre le matin mais je m'en sors entière. Je me change en tenue de sport en vitesse et en arrivant en classe une de mes camarade me dit: "Ah mais on a pas sport aujourd'hui, y a cérémonie d'ouverture donc c'est annulé. " Merci T.T (caca). Et je retourne me changer.

Anin, une fille de ma classe, a offert des photos du voyage scolaire à quelques-uns, moi entre autre. Y avait un petit mot sur l'enveloppe écrit en kana uniquement pour être sûr que je comprennes. En bref, ça m'a fait super plaisir. Et puis Puniko est venu me parler et m'a aussi offert une babiole car on en avait parlé durant le voyage scolaire. Elle a aussi rappelé la promesse d'aller dans un Made Cafe ensemble, ce qui devrait donc se faire durant les vacances de Nœl et puis karaoke?

On se rend donc à cette fameuse cérémonie d'entrée: blabla et remise de prix. Une fois finie cours d'anglais suivit d'histoire du monde. Je pars alors avec Puniko à la recherche de Thoru qui devait venir me chercher en classe durant l'heure précédente. Finalement trouvé, Puni- retourne en classe et moi je pars avec ce dernier. Dans la voiture il m'apprend gentillement que je vais devoir faire un speech alors que Miyuki m'avait dit que il n'y en aurait pas. Je m'en doutais assez bien en réalité mais je préférais la croire puisque ça ne m'arrangeait pas qu'elle ai tort.
J'ai donc écrit un speech vite fait sur un bout de papier durant le repas entre rotarien, avant que la réunion ne commence. J'ai eu le temps de le mémoriser et je pense que le japonais que je radotais était sans fautes mais ce fut tellement court et basique que je me sentis très nulle, malgré les applaudissements habituels.
Mon quatrième papa d'accueil, de nom, Nakajima-san, étant rotarien était à la réunion, ce qui me fit bien plaisir, homme très joyeux et qui adoooooore prendre des photos, il m'offrit donc celle de notre dernière entrevue.
La réunion continua sans le moindre interêt, étant donné que j'y capte rien et que le projecteur n'affiche que des graphiques incompréhensibles. Une fois délivrée, Thoru me reconduit à l'école.

Mes camarades faisait le rapport du voyage scolaire, vu le niveau de dessin de Puniko, c'était elle qui avait pris les choses en charge de A à Z. Chouette à regarder, impressionnant. Shoko a profité que tous le groupe était réuni pour distribuer équitablement ces petits clichés plus communément appelé pura-truc qu'on avait fait à Hiroshima.

Ce jour là, je rentre à vélo. Il pleut des cordes. Oh bonheur (:

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18 novembre 2009 3 18 /11 /novembre /2009 07:03

Mari avait effectivement choppé l'influenza, elle est casi guérie maintenant. Le truc c'est que si quelqu'un de la famille a influenza, tu ne peux pas aller à l'école donc je suis de nouveau cloîtrée à la maison, jusque vendredi. -.-'
Tout ça parce que c'est trop dangereux pour les autres vu que tu es en contact avec le virus, d'un autre côté c'est vachement plus dangereux pour toi vu qu'on te force à te baricader avec la malade.
Bref, je suis en excellente santé et encore bien.


Quarante-quatrième   jour:

Dimanche

Dodo longtemps si longtemps...
Puis Dai-chan est venu nous chercher Miyuki et moi. On a alors été cherché Kazu, un autre pote de Miyuki pour être au grand complet. Ces deux braves messieurs étaient en fait dans le même lycée et même club de natation quand ils étaient plus jeune. Direction SEIYU, le supermarché habituel pour aller chercher de quoi faire... un barbecue, activité du jour. Jusque là tout était simple, mais maintenant ça se complique. Au Japon y a des coins sympas prévus pour barbekiouter tranquille dans un joli coin et sécurisé (genre ou tu risques pas de déclencher un incendie). Mais ces fameux endroits, si tu veux t'y rendre par tes propres moyens, faut y avoir été plusieurs fois avant je pense. C'était pas le cas. Dai-chan au volant y avait été une fois y a longtemps, c'est tout. Et je peux vous assurer que quand tu demandes au GPS "endroit pour barbekiouter tranquilou" il ne peux que te dire "veuillez reformuler le lieu de destination". On s'est donc perdu plus que jamais et lorsqu'on arriva au lieu de barbekioutage tant attendu on connaissait le nom de chaque rue des douze villages des alentours (ce qui est impossible puisqu'au Japon les rues n'ont pas de nom).

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Faut se dire qu'en arrivant il était 14:1o, j'avais pas mangé depuis la veille donc j'étais pas super heureuse, ayant perdu patience. Il fallait encore tout sortir, commencer le feu et tout le reste, mais puisque y avait des chips je me suis vite remise de ma faim. Ce fut fort sympatique (:

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La nourriture était excellente.

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J'eu l'occasion d'enseigner la jonglerie à ces deux messieurs.

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Lorsqu'on eu tout mangé/lavé/rangé on repartit. Il était 18:4o et la nuit était plus que tombée. Dai-chan nous redéposa Miyuki et moi à la maison et celui-ci repartit avec Kazu. On se dépécha de dire à Oka-san de ne pas faire à manger pour nous ce soir, comme elle s'en doutait. C'est ainsi que pour la première et unique fois je n'ai mangé qu'un seul repas sur une journée dans la famille Urata.

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 08:36

En fait la semaine passe y avait 3 classes closes.
Cette semaine il y en a 5, et la mienne est dedans, et je me sens patraque depuis quelques jours moi aussi. Mais pas de fièvre et qui dit pas de fièvre, pas de grippe et pas de grippe... ben pas de grippe :D Je vais mieux (:
Par contre ma soeur, Mari a 38 de température.
Mai a réussi son premier examen d'entrée pour l'université de médecine qu'elle a passé lundi, elle a fait le suivant samedi mais apparement, celui la est pas bon, enfin pas encore les résultats.

Vu le retard du blog je répondrais à vos commentaires un peu plus tard, mais ils me font toujours autant plaisir.


Quarante-deuxième
   jour:

School trip.

Vendredi

De nouveau check de température le matin, toujours mal à la tête mais contrairement à hier c'est supportable. Je ne suis pas surprise de ne pas aller spécialement mieux, j'ai dormi un peu de moins de quatre heures car j'ai eu envie de vomir toute la nuit et vu que j'y arrivais pas, je ne savais pas m'endormir non plus.

Déjeuner, rangement des bagages pour qu'ils soient livré à domicile le lendemain.
On est alors partit à pied en direction du quartier européen de Kobe. La plupart des mainsons du quartier sont anglaises mais on peut touver de temps en temps d'autres pays comme la France, ou autre. Chaque groupe avait sa propre liste de maison qu'ils devaient visiter donc celle dans lesquels on allait on ne les choisissait pas.

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Les notres furent:

La maison verte

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Le musée de l'ours en peluche anglais.

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Ensuite glace au lait, repas de midi.
Et quel repas! On est entré dans ce restaurant un peu au hasard, c'était la vitrine la plus sympa dans les restaurants du centre commercial relié à notre hotel. Un personnel d'une gentillesse et sourire irréprochable et puis un uniforme mignon. Un menu super bien fait graphiquement (et c'est rare au Japon). Rien qu'avec ça, j'étais au paradis, ça aurait pu être inmangeable je serais fière d'eux. Manquant de place un de nos sacs(le mien) était posé sur le sol, une serveuse en venue et la mis dans un bac en osier qu'elle a posé à mes côtés afin qu'il ne se salisse pas. On amène alors les verres d'eaux avec glaçons, serviettes et couverts (super chou aussi). Premier service, une assiette en forme de goutte vide et une serveuse vient avec un plateau avec plein de sortes de "petits pains" (3-5cm max) de sucrés à salés, pâte cuites à diffèrent niveaux suivant les variétés en passant par toutes les sortes que jamais on aurait pu inventer, dans lequel on se servait au choix. Beau à voir, bon à manger.  Et puis le repas principal est arrivé, excellent lui aussi et tout aussi joli. J'avais pris des spagetti, ils étaient aldentés ;D Pour les pains, dès que tu avais mangé ceux que tu avais choisi le plateau(avec la serveuse) revenait, des pains différents à chaque passage étaient présentés. Le plateau de pain est passé sept fois sur le temps qu'on a passé dans le restaurant. Peu avant de partir trois autres groupes de Matsujô sont arrivés, au lieu de quatre nous étions donc seize du même lycée dans ce restaurant. Le repas se termina sur notre boisson chaude repective (ci-dessous).
Une fois l'enfant, le lapin (transformé en chat) et l'ours morts, nous avons quitté les lieux.

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Et enfin Shinkansen pour environ 4 heures et plus pour le trajet Shin-Kobe - Tokyo.
Un truc marrant d'ailleurs dans la gare, un autre lycée était assis par terre comme des yankees à écouter les consignes de leur professeur avant de partir et y a un petit groupe qui commence à faire coucou, moi je me prends un petit trip toute seule et leur répond en étant persuadée que c'était pas pour moi à la base et que le fait que c'était dans ma direction par pur hasard. C'est alors qu'elles se mettent à hurler totalement histériques, et ben ouai, c'était pour ma pomme le coucou. Je peux vous assurer que la réaction m'a fait peur et c'est pas la première fois que ça m'arrive, la prochaine fois faut pas que j'oublie de garder les mains le long du corps. (L'explication de mon succès se résume en un mot: dreadlocks. Ici ils connaissent pas, alors je suis une STAR, montrée du doigt et prise en photo faussement discrètement, même par des grands-mères.)

Ensuite Tokyo - Ikebukuro.
Alors ça le vendredi au environ de 18 heures, ce qui était le cas, c'est massacre. A éviter un maximum.

Et enfin Ikebukuro - Higashimatsuyama.
Higashimatsuyama où j'ai eu l'honneur de rencontrer la maman de Puniko.
Je suis rentrée dans ma maison, me suis mise à l'aise, ai rempli mon petit ventre de nourriture et ai offert mes cadeaux à toute la famille au grand complet. Tous furent très heureux de mes présents et je finis par m'endormir à côté d'Hiromi devant la TV qui nous apprenait que les Jeux Olympiques 2o16 se feront au Brézil, grosse déception pour elle. Otou-san m'a fait de grand discours pour m'expliquer à quel point la maison fut triste pendant ces quatre jours sans moi, le moral d'Oka-san si bas et une ambiance bien moins sympa.
Je veux pas changer de famille.

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3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 10:06

J'ai appris dimanche que le mexicain de mon district à choper la fameuse "influenza"(autrement dite grippe A/H1N1). Mais ça devrait aller, pas de nouvelles comme quoi il y a de quoi s'en faire de trop.

Pour Matsujô, comme beaucoup d'école une classe vient d'être fermée, ce genre de chose arrive quand plus de 1o personnes ont l'influenza dans la même classe, c'est considéré comme trop dangereux et la classe est fermée pour une semaine (les élèves perdent ensuite une des deux semaines de vacances sur celle de Noël pour rattraper le retard). La classe close est la classe 2-3, même année et que moi et donc même couloir, je passe devant tous les jours. L'influenza vient aussi de dire bonjour à ma propre classe, une de mes camarade l'a attrapée. A part ça, je me porte bien, en ce qui me concerne et je serais aussi prudente que possible --'

L'influenza fait beaucoup de bruit actuellement car il y a quelques jours une japonaise de 14 ans en est morte et qui d'après les examens, personne d'aussi jeune et en parfaite santé comme elle l'était n'y avait encore succomber.

Quarante-et-unième
   jour:

School trip.

Jeudi

Anniversaire de ma vrai sœur aînée.

Levée à 6:oo, déjeuner à 7:15, toujours aussi chic. Retour dans les chambre pour descendre les bagages. Et enfin à 8:15 on était tous dans le car partant pour deux heures de trajet (comme toujours, on a tous dormi). On est alors arrivée à Kagawa, lieu de cette troisième journée.

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Jolie ville, jolie toilette publique.

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Y a pas mal de chose à voir alors journée libre et on allait ou on voulait. Nous, on a choisit "la montée de la mort".
Le long de celle-ci, plein de boutique et donc achat de cadeaux, repas de midi, des udons, spécialités de Kagawa. Puis une glace (fort particulière). Quelques photos.

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Et après un nouveau tour aux toilettes, on reprend le car. On a vu pas mal de belle chose quand on dormait pas sur ce trajet, on a aussi fait une pause, glace de nouveau, à l'olive cette fois, et puis une bouteille de jus de raisin.

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On arrive alors à Yokoyama et on y prends le Shinkansen jusqu'à Kobe, destination du jour suivant.

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On s'y rend cependant à l'avance pour ne pas perdre de temps et se faire offrir un merveilleux souper. Uniforme obligatoire donc on passe à l'hotel, juste en face de la gare pour se changer. On reprend donc le car pour 2o minutes de trajet jusqu'au lieu de notre dîner. Celui-ci ce fait sur bâteau, se nommant, le Concerto.

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Par un beau coup de chance, on était la seule classe à manger au dernier étage, donc la plus belle vue. La nourriture était super bonne et j'ai pu manger des Bao (vous savez, l'item qu'il faut pour faire les baobao dans Ragnarök, y en a au moins deux qui comprendront...). En fait c'est de la nourriture chinoise. Et puis le bâteau s'appelait pas Concerto pour rien, on a eu droit à une chanteuse avec piano pendant le repas. C'était magnifique et je connaissais toutes les musiques qu'elle nous a jouée. (:

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On a eu droit a un bingo, organisé en cachette par quelques-unes de la classe. J'ai gagné un paquet d'une sous marque de Pocky (en europe, c'est Mikado en gros) à la fraise, ben oui, j'étais avant dernière à avoir le bingo.
Ensuite, on a tous été sur le pont pour des séries de photos comme ils nous plaisaient, discussions entre élèves ou/et professeurs et dans mon cas principalement avec Sara-chan et ses amies, respectivement Mito, Shouko, Sara et Ayaka. (Et puis des gens que je connais pas, on tenu à prendre des photos avec moi, entre autre Haruka-chan.)

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On est alors retourné à l'hôtel.
Je me suis sentie fort mal cette journée là, un mal de tête puissant et continu qui me tenais par le bout du nez. Donc check de température habituel, inhabituel, trop haute. Cette nuit je dors avec Puniko, j'irais surement mieux demain.

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3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 04:27

Autre annecdote, y a environ 25o bouteilles de vin remplie dans ma nouvelle chambre. Je peux en faire ce que je veux! Bien entendu tant que personne ne s'en rende compte.

Et puis je me suis fait offrir quelques coups de soleil (visage, dos, ... ) en ce premier jour du mois de novembre

Quarantième   jour:

School trip.

Mercredi

Anniversaire de mon vrai papa.

Levée à 6:15, vue de notre chambre sur Hiroshima.

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Déjeuner à 7:15. Un déjeuner où les filles de Matsujô m'ont pas mal déroutée, puisqu'en ce deuxième jour on était autorisée à porter nos habits personnels, et n'ayant pas encore fait de sortie avec elles en dehors de l'école, ce fut une première. Et bien elles sont trop mignonnes. Vraiment, la mode ici c'est quelque chose. Dans leur style elle se ressemble mais par rapport a ce qu'on voit chez nous. Enfin, je suis fan tous court. (Et les vêtements au Japon, tu peux trouver cher, comme partout, mais c'est souvent bon marché. Bien plus souvent que chez nous.) J'ai quand même pu trouver dans la foule, quelques élèves qui ont porté l'uniforme pendant tous le voyage, elles préféraient cela. Pour retourner au petit déjeuner, en franchissant la porte on s'est retrouvée face à une salle de banquet, des millions de choses à manger et c'était super bon.
Après on est retournée dans nos chambres, ont a fait nos valises, on les a transportées jusqu'aux camions qui les prennaient en charge et nous nous sommes rendues jusqu'au port en bus. Ou nous avons pris le bâteau pour une grosse demi-heure.

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Arrivée à Ehime, notre destination pour ce deuxième jour, nous avons eu droit à un superbe accueil surprise, avec remise de badge à la chaîne, le tout par des mômes de trois pommes (à qui, pour ne pas changer, je faisais peur).

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On a alors repris le bus et on est partit pêcher, activité principale de cette journée. Première fois pour moi, que je pratique ce sport? Mais attention, pêche dans la mer. Sans compter qu'il drachait pas possible, on avait tous reçu un de ces merveilleux vêtements de plastiques transparents qui te recouvre soit-disant totalement (mais qui laisse en fait place à plein de petites rivières d'eau glacée voulant se jeter sur toi à tout moment). En somme, on avait tous le profil d'un pinguin. En ce qui concerne mon groupe, y a eu un problème de canne à pêche mal démontée à sa dernière utilisation, le temps que ce soit règler on a eu à peine le temps de pêcher un poisson chacune, enfin, on moins maintenant on peut toutes dire qu'on en est capable.
Après avoir ranger tout notre matériel, on a eu droit à notre repas de midi, dans multiples cabanes ouvertes sur la plage. Un repas fort variés mais beaucoup de coquillages et de poissons au menu. A côté de ça il y avait tout des même des onigris (boulettes de riz) et puis du riz au curry, longtemps que je voulais tester, et bien j'adore.
On suivit, diverses photos de groupes sur la plage.

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Ensuite de nouveau, on a prit le car, en route pour une conférence sur les mandarines de la région qui sont excellentes, en effet. Ensuite visite de l'usine. Pas passionant, pas le niveau pour comprendre quoi que ce soit.

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Et encore car et encore bâteau et re-car (dodo)...
Nous sommes enfin à notre deuxième hôtel.

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Hôtel avec Onsen (source chaude). Mais personne de mon groupe ne voulait y aller car fallait payer 5oo 円, autrement dit 3,75 euros. Donc j'ai pas été non plus (bien que je voulais bien toutes leur payer pour qu'elles y aillent). Souper grandiose, de nouveau réel banquet. Cette nuit là je dormais avec Fuji, on est passées dans la chambre des deux autres, on est rentrée dans la notre pour le check habituel à 22hoo et plus tard dodo.

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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 09:56

Comment ça j'ai agrandi mon retard? Pas au courant, non, non, non, désolé, pas du tout. (:

Ma seconde famille est super aussi, bien qu'elle n'a rien en commun avec celle d'avant. Ca promet des surprises.
Et je vous rassure, l'ordinateur est rapide, par contre moi, je le suis un peu moins...

Aujourd'hui, Oka-san a acheté pour 97,5o euros de cartes de voeux de bonne année.
Je suis pas sur du tout d'en avoir assez.

Trente-
neuvième   jour:

School trip.

Mardi

Réveil difficile car il faut dire que la nuit ne fut pas calme, genre drache énorme dehors (tant qu'à être belge, autant l'être jusqu'au bout) et vu l'isolation de la maison, on peut dire que ça passait pas inaperçu. Puis le passage habituel du facteur et levée tôt le matin, j'ai dormi une heure à tout casser, puisqu'à 4:4o je me levais, comme prévu mais pas vraiment aussi reposée que je l'imaginais.
En route pour la gare de Higashimatsuyama, on a embarqué ma voisine, Sara-chan qui est à Matsujô également, dans mon année (2 年- 4 組) et qui s'y rendait donc aussi. Elle est sympa (:
Oka-san m'a dit au revoir et j'ai rejoins Puniko, une des membres de mon groupe pour ce voyage scolaire. Premier train: Higashimatsuyama-Ikebukuro [5o-6o min], l'entierté de mon groupe nous a rejoint sur ce trajet, nous étions donc; Fuji, Shoko, Puniko et moi. Puis second train: Ikebukuro-Tokyo [15-2o min].
Dans la gare de Tokyo on s'est tous rassemblé, un gros paquet de deuxième année en somme... et les responsables, professeurs et autres ont fait leur petit speech avec mégaphone.

Mon groupe plus mon professeur principal, Nakamura-sensei et puis des potes.

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Pour ensuite prendre notre troisième train du jour, le fameux Shinkansen, train servant à faire de longues distances au Japon en peu de temps puisque celui-ci a une vitesse moyenne d'un peu plus de 3oo km/h. Notre itinéraire est le suivant: Tokyo-Hiroshima. Pour ce qui est du Shinkansen, sur les 5hoo de trajet, j'ai dormi, pris des photos, dormi, mangé, dormi.

Mon groupe: Shoko, Fuji et en gros plan Puniko. Et puis quelques instant plus tard.

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Mont Fuji.

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Et le plus important, le bento de Nakamura-sensei.

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A peine sorti de la gare de Hiroshima, on nous a tous empilé dans multiples cars fort inconfortable pour un petit quart d'heure seulement pour s'arrêter devant un building où nous avons du gravir les doubles escaliers jusqu'au septième étage. Nous voila enfin, à notre premier point d'arrêt.

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Il s'agit d'un discours par une dame ayant vécu, d'assez loin pour y survivre, le malheur d'Hiroshima alors qu'elle n'avait que 13 ans [en 1945]. Discours de plus d'une heure et qui parut vraiment long, car c'était fort pénible à entendre. Mais on a tous été très touché par cette étape de notre voyage et plusieurs dizaines furent en pleures pour une grosse partie du discours. En ce qui me concerne, j'ai pu comprendre bien plus de choses que je l'imaginais avec un japonais âgé d'à peine un mois. Et vraiment, c'était quelque chose.
Remerciement et photo de groupe pour conclure.

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Après avoir franchi les sept étages dans le sens inverse, on s'est rendu à pied pour le lieu dit et le musée d'Hiroshima [pour ce dernier photo interdite]. A voir et dans mon cas, à voir de nouveau.

Bref aperçu.
Au pied de chaque monument des milliers d'origami.

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Les dizaines de petites cabanes qui entoure ce monument sont rempli d'origami.

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(Ne pas se laisser avoir par le ciel, ce jour fut lourd et fort chaud)
On peut voir le dôme derrière l'arc englobant la flamme qui restera encore et encore allumée.

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Temps libre pour 3hoo.
On a choisit d'aller regarder certains monuments de plus près et puis petit tour dans la ville.

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Souper dans un restaurant d'okonomiyaki puisque c'est une spécialité de la région (lucky). Excellent évidement, et plus de 3o clients sont venus mangés au même endroit dont au moins une grosse vingtaine était de Matsujô. J'ai eu droit à mes premiers Purikura. On a ensuite acheté vite fait à boire et nous nous sommes rendues à notre premier hôtel à pattes. Un vrai, un beau. On était toutes mortes mais on a préféré se prendre quelques délires au lieu d'aller pieuter direct.

Cette nuit je dors avec Puniko, ci-dessous.

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Et Shoko, ci dessous.

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Mon voyage scolaire coûte la modique somme de 80 000 円.
Merci le rotary (:

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  • : Ce blog raconte mon année au Japon qui débutera ce 21 août 2oo9, ses préparatifs et qui sait, une suite? Merci au Rotary International pour ce rêve réalisé.
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