Edit:
Fort domage mais je ne peux dire quand sera la suite, en tout cas je vous remercie pour vos visites de plus en plus nombreuses et je m'en vais dans ma quatrieme famille dans quelques heures. Je reprendrai les articles quand cela sera possible pour raconter la suite de mes vacances de noel, le depart de ma deuxieme famille et puis la vie que j'ai eu avec ma troisieme (: Merci.
Cent vingt-huitième au cent vingt-neuvième jour:
Dimanche
Levée à 7:3o, n'ayant pas pris le temps de faire mes bagages hier je cours un peu dans tous les sens et arrive à les terminer à temps. Douche, déjeuner (oeuf à la pœle sur du lard avec une tranche de pain) et enfin Hideki nous conduit à la gare, Mai, Mari et moi. À partir de là, nous faisons Higashimatsuyama - Ikebukuro pour environ une heure de trajet. Ensuite Ikebukuro - Tokyo pour 25 minutes. À Tokyo on achète boisson et bento avant de monter dans ce fameux train, le shinkansen. Ce train regoupe un nombre inconsidérable d'étranger au Japon, c'est ainsi qu'en allant m'asseoir j'entends "Vous pouvez me passez vos tickets?". C'est toujours marrant. J'ai aussi eu droit aux questions de Mai et Mari; "C'est leur vrai couleur de cheveux?" ou encore " Ils sont américains ou européens, de quels pays?"... Une fois assisent et le train ayant démarrer on mange nos bentos.
Une fois ceux-ci achevés, mes soeurs japonaises, décident de dormir, de mon côté ne trouvant pas le sommeil, j'opte pour tenter de faire connaissance avec les français du wagon. Chose qui leur fit énormement plaisir. Un papa super sympa, une maman intriguée; "Des gamines en uniforme/mini-jupe partout, du soir au matin ET même le dimanche, où va-t-on?", leur fille de quinze ans et sa meilleure amie, Julie qui sont fort tentées de faire un échange suite à notre conversation et enfin le fils, interessé par une seule chose, sa DS. Ils étaient là pour des vacances d'une dizaine de jours, leur rêve depuis un bon bout de temps. On parle environ une heure trente ensemble, arrivant tout doucement en gare je rejoinds mon siège, où je découvre Mari qui dort à moitié et l'abscence de Mai, occupé à remettre son bento dans les Water Closed. Celle-ci nous retrouve en dernière minute pour descendre du train à Nagoya mais rien ne l'arrêta de vomir dans la gare pendant que nous cherchons la correspondance. Le dernier train faisant le trajet Nagoya - Kozoji fut rude, un train de campagne avec beaucoup de balancements, heureusement une vieille dame en face de nous se rendant compte qu'on a plus de sachet pour les restes rebelles du bento de Mai, nous en offre avec grande bonté. Juste avant que le train s'arrête en gare j'aperçois un magasin "Yamada Denki" à quelques minutes de la gare, un des plus grand commerce d'électronique en tous genres. Et la carte mémoire de mon reflex étant casi pleine, après en avoir parlé avec Mai et Mari, il fut décidé que j'irai en acheté une nouvelle pendant qu'elles m'attendront dans la gare. Une fois de retour avec une nouvelle carte mémoire et carte de fidélité, on prends le taxi pour se rendre à destination, c'est–à–dire une des maisons de vacances de ma grand-mère d'accueil, que j'avais rencontrée de plus tôt. Le taxi fut une épreuve pour indiquer le chemin, en ce qui me concerne, je ne le connaissais pas, Mai étant toujours malade avait du mal à parler et Mari était totalement effrayée par le conducteur qui était désagréable, froid et qui plus est, avait pour nom Kouki s'écrivant avec un kanji signifiant démon. Mari m'a annoncé par la suite que c'est la première fois qu'elle rencontrait quelqu'un qui lui faisait aussi peur que son professeur de karate. On est ensuite accueillies par la grand-mère, dans une maison de plus d'une centaine d'année, avec des poutres de la taille d'un tronc d'arbre et le plafond encore plus bas que dans les maisons japonaises modernes.
On prit le thé pendant que Mai dormait pour reprendre des forces, une fois réveillée, on fit le repas et mangea en parlant de plein de choses. Le festin finit, on déplaça une armoire à l'étage pour préparer les futons.
C'est à ce moment que les plombs choissirent de sauter pour faute, avoir tenter de mettre en marche le lave-vaiselle quelques minutes avant. Mais il faisait nuit, donc tout noir! (Les photos datent du jour suivant) Résultat, tout prit la tournure d'un film d'horreur aux yeux de Mai et Mari. Les poupées traditionnelles dans les vitrine, la véritable peau d'ours empaillée, l'escalier qui grince à retardement faisant penser qu'on est suivit et puis surtout le téléphone qui se met à sonner juste quand on passe devant, sous oublier que la maison est en face d'un cimetière. J'ai trouvé cela très drôle, pour une fois que c'était pas moi la cou*lle :D Une fois la situation rétablie, un peu de TV et de desserts avant d'aller se coucher.
Lundi
La nuit ne fut pas calme mais reposante puisqu'avec Mari on se leva à 11:3o. Mai était déjà debout et elle va beaucoup mieux. On dîne; œufs, salade et pain. Et une fois douchée et habillée nous appelons un taxi. Celui-ci aussi fut quelques peu particulier, à deux rues de la maison il manqua de peu de tuer un gamin en trotinette. Arrivée à la gare de Kozoji on prend un joli train rapide pour touriste dans lequel on mange les pocky de la veille. Une fois arrivées à Nagoya, nous reprenons le taxi pour aller jusqu'au château de la ville. Un taximan âgé et sympa, aucun soucis. Suis alors la visite du domaine.
Pas d'eau dans les fossés ici.
Le château.
Je ne sais plus si j'en avais parlé de plus tôt, mais dans les temples le symbole "nazi" comme on l'apelle est très utilisé au Japon, la signifaction est toute autre, mais cela choque souvent les étrangers.
On prit ensuite le thé vers (calembour) 16:oo dans un établissement du domaine fort sympatique, où l'on m'offrit des origamis puisque j'étais étrangère. J'ai ensuite acheté un de ces bol/tasse dans lesquels on boit, comme sur la photo, sauf que c'est pas celui-là. Un réel coup de foudre pas du tout raisonable, mon premier.
On reprend le taxi, le pauvre homme devait avoir quelque chose au palais, il adorait parler et ne cessa pas mais de notre côté on avait vraiment du mal à le comprendre. On avait rendez-vous à la gare avec la grand-mère pour le souper mais on arriva 15 minutes en avance, on décide donc d'aller à la librairie et magasin de disque de la galerie commerciale de la gare. C'est au onzième étage, une fois aux abords du neuvième, coup de fil de la grand-mère, elle nous attend en bas. On la rejoind pour monter toutes les quatre au treizième où se trouve le restaurant dans lequel on pensait manger. Restant 2o minutes avant que notre réservation soit effective, on zieute tout de même le onzième avant d'aller manger. Le repas fut ... riche et vraiment délicieux. Le restaurant est spécialisé dans les tempura, c'est un peu comme un assortiment de beignet, des aliments cuisiné avec une friture légère. Une fois le bidou bien rempli, on retourne voir le onzième étage. On achète divers CDs et puis les déjeuners du lendemain avant de rentrer au bercaille. Sur le taxi du retour on retrouve la personne du même matin, qui avait tenter un assassinat mais cette fois, on s'en sort sans encombre. On parle, prend le thé et finit par se coucher assez rapidement. Mari ronfle et et Mai lit un manga au moment où je m'endors.